Tibet et Spiritualité : Patrimoine de l’Humanité menacé par la Chine.
Le gouvernement chinois a comme ennemi toutes formes de religion et de spiritualité, donc toutes formes de liberté de l’esprit, car cette liberté menace leur pouvoir, leur puissance et leur domination. En détruisant cette spiritualité millénaire, ce patrimoine mondial, le gouvernement chinois s’attaque au désir fondamental de chaque être humain de s’élever spirituellement, pas seulement le peuple tibétain, et se pauvre peuple chinois, mais également à nous aussi peuple occidentaux.
La destruction massive des monastères tibétains (plus de 6000), mais aussi des églises catholiques et des mosquées musulmanes, les meutres de milliers de moines, de nonnes et de laics, et cette politique de détruire la culture tibétaine et son peuple de nombreuses manières (plus de 1 200 000 de tibétains sont morts de cette répression en plus des milliers de disparus dans les prisons chinoises) ont pour éléments déclencheurs le plateau tibétain, position militairement stratégique, ainsi qu’une abondance en ressources naturelles qui sont exploitées au point de rendre le Tibet aride et stérile, mais également cette anecdote suivante :
” Lama Tsong Khapa, Lobsang Drakpa, un moine très important du Tibet au 13 ième siècle, et qui marqua profondémment le Tibet de l’époque, jusqu’à aujourd’hui, était une émanation du Bouddha de la Compassion (Avalokiteshvara), du Bouddha de la Sagesse (Manjoushri) et du Bouddha Vajrapani. Il a écrit de nombreux écrits sacrés (Lamrim) et il est vénéré par tous les tibétains et bouddhistes pour ses hautes réalisations spirituelles. Or, Lama Tsong Khapa, à sa mort, décida de ne pas faire disparaître son corps et de la garder ici bas, pour aider à la motivation spirituelle de tous. Une fois mort, son corps fut conservé au monastère Ganden Jangtse, tout près de Lhassa, la capitale du Tibet. Son corps fut laissé coucher sur une table banale sans protection, à l’air libre, il resta beau et jeune jusqu’en 1959. Seulement un entretien minimum était nécessaire, comme couper les cheveux et les ongles (phénomène que l’on retrouve encore chez d’autres moines actuellement).
Puis avant les massacres des moines et la destruction totale des monastères en 1959, une délégation militaire chinoise visita le monastère de Ganden et découvrit le corps de Tsong Khapa tout jeune et très bien conservé, comme s’il dormait tout simplement. Les militaires chinois furent stupéfaits et déclarèrent la guerre à la spiritualité comme ennemi du parti communiste chinois et comme menace de la Mère Patrie, et le Tibet fut bombardé sans relache, et le Dalai-Lama fût soudainement en danger. Le corps de Lama tsong Khapa fut détruit et brûlé. Cette histoire est vraie, et il y en a beaucoup d’autres.
Le Mohikhan
mars 20th, 2008 à 10:06
Tibet et Spiritualité : Patrimoine de l’Humanité menacé par la Chine.
Le gouvernement chinois a comme ennemi toutes formes de religion et de spiritualité, donc toutes formes de liberté de l’esprit, car cette liberté menace leur pouvoir, leur puissance et leur domination. En détruisant cette spiritualité millénaire, ce patrimoine mondial, le gouvernement chinois s’attaque au désir fondamental de chaque être humain de s’élever spirituellement, pas seulement le peuple tibétain, et se pauvre peuple chinois, mais également à nous aussi peuple occidentaux.
La destruction massive des monastères tibétains (plus de 6000), mais aussi des églises catholiques et des mosquées musulmanes, les meutres de milliers de moines, de nonnes et de laics, et cette politique de détruire la culture tibétaine et son peuple de nombreuses manières (plus de 1 200 000 de tibétains sont morts de cette répression en plus des milliers de disparus dans les prisons chinoises) ont pour éléments déclencheurs le plateau tibétain, position militairement stratégique, ainsi qu’une abondance en ressources naturelles qui sont exploitées au point de rendre le Tibet aride et stérile, mais également cette anecdote suivante :
” Lama Tsong Khapa, Lobsang Drakpa, un moine très important du Tibet au 13 ième siècle, et qui marqua profondémment le Tibet de l’époque, jusqu’à aujourd’hui, était une émanation du Bouddha de la Compassion (Avalokiteshvara), du Bouddha de la Sagesse (Manjoushri) et du Bouddha Vajrapani. Il a écrit de nombreux écrits sacrés (Lamrim) et il est vénéré par tous les tibétains et bouddhistes pour ses hautes réalisations spirituelles. Or, Lama Tsong Khapa, à sa mort, décida de ne pas faire disparaître son corps et de la garder ici bas, pour aider à la motivation spirituelle de tous. Une fois mort, son corps fut conservé au monastère Ganden Jangtse, tout près de Lhassa, la capitale du Tibet. Son corps fut laissé coucher sur une table banale sans protection, à l’air libre, il resta beau et jeune jusqu’en 1959. Seulement un entretien minimum était nécessaire, comme couper les cheveux et les ongles (phénomène que l’on retrouve encore chez d’autres moines actuellement).
Puis avant les massacres des moines et la destruction totale des monastères en 1959, une délégation militaire chinoise visita le monastère de Ganden et découvrit le corps de Tsong Khapa tout jeune et très bien conservé, comme s’il dormait tout simplement. Les militaires chinois furent stupéfaits et déclarèrent la guerre à la spiritualité comme ennemi du parti communiste chinois et comme menace de la Mère Patrie, et le Tibet fut bombardé sans relache, et le Dalai-Lama fût soudainement en danger. Le corps de Lama tsong Khapa fut détruit et brûlé. Cette histoire est vraie, et il y en a beaucoup d’autres.
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